Itinérance et pauvreté, c'est payant pour le gouvernement

Lionel Carmant ministre
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ITINÉRANCE ET PAUVRETÉ,
C'EST PAYANT POUR LE GOUVERNEMENT QUÉBÉCOIS.
Dans l'article intitulé " Donnons ", publié en date du 4 Septembre 2024, je parlais des grandes bannières qui y trouvent leurs comptes dans la pauvreté. Exemple, vous achetez une boîte de serviettes hygiéniques et une, une seule serviette sera remise gratuitement.

Il n'y a pas que les grandes bannières qui en tire profit. Il y a les milieux communautaires sans oublier les différents gouvernements.

Lionel Carmant
 
« Moi, je n’ai jamais parlé d’itinérance zéro », a-t-il affirmé, dans un hôtel où se déroulait jusqu’à vendredi midi le caucus des élus de la Coalition avenir Québec (CAQ).

Carmant affirme que L’itinérance est souvent choix. La réalité est plutôt que certaines personnes choisissent la rue pour ne pas se plier à certains règlements comme se départir de son animal de compagnie et autres.
La réalité est qu'une personne assistée sociale ne devrait pas avoir de logis dû au fait que la somme versée est nettement insuffisante pour payer un loyer sans aide récurrente, ce qui est illégal aux yeux du gouvernement.
L’itinérance est en forte progression partout au Québec, voir au Canada. Croit-il, croyez-vous vraiment que c'est par choix pour cette minorité de plus en plus visible ?

Le gouvernement du Québec s'en lave les mains.
Le gouvernement Québécois vient en aide aux organismes communautaires aux stricts minimums qui s'en plaignent d'ailleurs. Venir en aide à un organisme communautaire ne règle en rien le problème, il l'alimente.
La demande grandissante oblige les organismes communautaires comme les banques alimentaires à s'agrandir, tout comme les refuges, résultat, plus de revenus dans les coffres du gouvernement. Si vous, vous faites du bénévolat, sachez bien que des gens, souvent universitaires sont très bien rémunéré pour faire rouler la boîte, autre source de revenus car eux aussi paient des impôts sur le revenu.

Le communautaire mal pris.
Les organismes communautaires doivent remplir certaines conditions pour obtenir des subventions. De ce fait, ils ont les mains liées et ne peuvent pas réagir ou dire n'importe par crainte de perdre leurs subventions.

Le ministre Lionel Carmant exhorte les élus municipaux « à baisser le ton ».
Ce n’est pas « en lançant des tomates qu’on va résoudre la problématique ».

Pathétique le ministre !
L’engagement international de l’État québécois.
En ratifiant le PIDESC, ( Pacte International Économique Sociaux)l’État québécois s’est engagé entre autres à :

Avoir des conditions de travail justes et favorables, accéder à l’éducation, pouvoir jouir du meilleur état de santé possible, avoir un niveau de vie décent et avoir droit à la sécurité sociale en cas de besoin… sont quelques-uns des droits économiques et sociaux.
Ces droits sont garantis à tous et toutes par des conventions ou des traités internationaux et par des lois nationales ou régionales, comme la Charte des droits et libertés au Québec.

Les mesures financières prévues par la loi Québécoise ne sont pas susceptibles d'assurer un niveau de vie décent et risquent de compromettre le droit à la sûreté, à la vie et à l’intégrité physique, mais aussi 'le droit à la sauvegarde de sa dignité.

Je tiens à souligner le travail exceptionnel de;
La mairesse de Gatineau, France Bélisle ainsi que celui du maire de la ville de Québec, Bruno Marchand.

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