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Pire qu'une pandémie.
Lorsque vous marchez dans les villes de la grande région de Montréal, à tous les deux coins de rue ou presque, quelqu'un te demande si tu n'aurais pas un peu de monnaie, voir un cinq ou un billet de dix dollars. Une situation pitoyable est ce n'est pas que des hommes qui quêtes mais de plus en plus de femmes. LES GRANDES BANNIÈRES.
Produits hygiéniques pour femme | Chaîne d'ameublement | Chaînes de restauration rapide et même une société d'État. C'est rendu une vraie pandémie.
Les grandes bannières elles, profitent de la situation. Elles jouent sur la sensibilité des gens. Elles demandent à la population Québécoise d'acheter leurs produits en échange de ridicules dons entre autres, à des banques alimentaires.
Publicité pour ces entreprises qui en sommes donnent très peu et souvent, donne ce qui de toute manière sera perdu. Il est préférable de donner ce qui arrive à échéance comme les fruits et légumes et obtenir un crédit d'impôt. Et la dignité des gens, elle?
Simplement très secondaire ces compagnies ainsi que pour le gouvernement Québécois. Le profit, la rentabilité, c'est tout ce qui compte. Comme le premier ministre du Québec, François Legault a dit:
Il est anormal pour toute personne, surtout pour une personne qui travaille, d'aller demander la charité dans un ou des organismes communautaires.
Il serait grandement temps que François Legault réalise que lorsqu'il vient en aide à une personne dans le besoin Itinérant (e), l'argent versé celle-ci retourne dans les coffres de l'état et généralement avec intérêts sous forme de taxe.
Lorsque vous marchez dans les villes de la grande région de Montréal, à tous les deux coins de rue ou presque, quelqu'un te demande si tu n'aurais pas un peu de monnaie, voir un cinq ou un billet de dix dollars. Une situation pitoyable est ce n'est pas que des hommes qui quêtes mais de plus en plus de femmes. LES GRANDES BANNIÈRES.
Produits hygiéniques pour femme | Chaîne d'ameublement | Chaînes de restauration rapide et même une société d'État. C'est rendu une vraie pandémie.
Les grandes bannières elles, profitent de la situation. Elles jouent sur la sensibilité des gens. Elles demandent à la population Québécoise d'acheter leurs produits en échange de ridicules dons entre autres, à des banques alimentaires.
Publicité pour ces entreprises qui en sommes donnent très peu et souvent, donne ce qui de toute manière sera perdu. Il est préférable de donner ce qui arrive à échéance comme les fruits et légumes et obtenir un crédit d'impôt. Et la dignité des gens, elle?
Simplement très secondaire ces compagnies ainsi que pour le gouvernement Québécois. Le profit, la rentabilité, c'est tout ce qui compte. Comme le premier ministre du Québec, François Legault a dit:
« Quand j'investis,
faut que ça rapporte.»
Il est anormal pour toute personne, surtout pour une personne qui travaille, d'aller demander la charité dans un ou des organismes communautaires.
Il serait grandement temps que François Legault réalise que lorsqu'il vient en aide à une personne dans le besoin Itinérant (e), l'argent versé celle-ci retourne dans les coffres de l'état et généralement avec intérêts sous forme de taxe.
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