Immigration
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Avis partagé.
À vrai dire, M. Facal n'est pas un personnage que j'apprécie particulièrement. Je dois dire qu'en majorité du temps, je suis en désaccord avec lui. À chacun sa façon de voir la vie, ou la réalité. Cette fois-ci, je dois admettre que je partage son opinion.Et j'irais plus loin encore à propos de l'immigration. Contrairement à ce que l'on nous dit, l'immigration nous coûte une petite fortune. L'intégration, la francisation, la construction de nouvelles écoles, de logements, a un prix. Plus de soins de santé, et oui, plus de place dans les prisons et services en santé mentale et itinérance.Ceux et celles qui prétendent le contraire sont les mêmes qui profitent de cette immigration de plusieurs façons. Ne connaissant pas les lois et obligations, ils sont souvent victimes d'abus de tout genre. Identique côté salarial, voilà pourquoi certains employeurs ne peuvent se passer de la main-d'œuvre étrangère à l'exception de rare cas. François Vincent, un homme en cravate et, vice-président de la FCEI du Québec
( Fédération canadienne de l’entreprise indépendante ) doit lui aussi comprendre. «Le français, ça s’apprend. Mais le gouvernement du Québec n’a pas été capable de répondre à la demande pour former les immigrants.» Dit-il.
Si les P.M.E. ( Petite. Moyenne Entreprise ) n'ont pas les moyens financiers de franciser les immigrants requis, ce n'est pas au gouvernement fédéral, ni au gouvernement provincial de financer avec l'argent des contribuables. Le propriétaire du ProColor J.C. Thérien à Mirabel. ( PME de 14 employés ) « On assisterait à une rareté chez les techniciens. Par le fait même, les salaires augmenteraient et les ateliers rivaliseraient pour les meilleurs employés.» L’homme d’affaires ne comprend pas les décisions gouvernementales en raison de ce qu’il voit dans son atelier. « Ils veulent vivre ici et ils sont prêts à apprendre le français, mentionne-t-il. Ils vont faire venir leur famille ici. Lorsque sa femme va travailler, elle va aussi payer des impôts comme nous tous. Ils ont un apport à notre société.» Les démarches pour faire venir un immigrant lui ont coûté entre 12 000$ et 15 000$ par employé. ( 7 employés sur 14 ) Pour qu'un entrepreneur investisse ainsi, c'est qu'il sait que son investissement lui rapportera. « Si on en venait à perdre des employés en raison de ces règles, notre capacité de réparation diminuerait et on se tournerait seulement vers les sinistres les plus payants.» Tout est question de rentabilité, pour sa poche. C'est lui comme employé, c'est sa femme, ses frères et sœurs, cousins, cousines... Que le reste de la population québécoise couche dehors, il n'en a vraisemblablement rien à foutre. Que le reste de la société québécoise soit incapable de se faire soigner, de trouver une garderie, une école, sans importance pour lui. Et quand M. Thérien parle de payer des impôts, ce qu'ils paieront servira à peine à couvrir les frais de base comme l'assurance-maladie. Sondage Léger.
Un sondage, c'est un peu comme les statistiques. Dépendamment comment la question est formulé et à qui tu t'adresses, tu peux obtenir la réponse désirée. Poser la question à un immigré, à une personne qui ne possède pas l'expérience requise ou encore, à un propriétaire d'une P.M.E., vous aurez la réponse désirée, c'est clair. Es-ce fiable, je ne crois pas.
Alors, que 72% des Québécois estiment que l’immigration doit répondre avant tout aux besoins des PME et du marché du travail ne signifie pas grand-chose. C'est lui comme employé, c'est sa femme, ses frères et sœurs, cousins, cousines... Demandez aux Québécois s'ils sont d'accord pour payer leur francisation et payer plus cher de loyer, je demeure convaincu que l'estimation sera tout autre. Franchir une frontière d'un pays sans autorisation est considéré comme un acte criminel. Doit-on accepter les criminels au Canada ? La montée de l'extrême droite partout dans le monde ne se produit pas pour rien, à vous d'y voir.
À vrai dire, M. Facal n'est pas un personnage que j'apprécie particulièrement. Je dois dire qu'en majorité du temps, je suis en désaccord avec lui. À chacun sa façon de voir la vie, ou la réalité. Cette fois-ci, je dois admettre que je partage son opinion.Et j'irais plus loin encore à propos de l'immigration. Contrairement à ce que l'on nous dit, l'immigration nous coûte une petite fortune. L'intégration, la francisation, la construction de nouvelles écoles, de logements, a un prix. Plus de soins de santé, et oui, plus de place dans les prisons et services en santé mentale et itinérance.Ceux et celles qui prétendent le contraire sont les mêmes qui profitent de cette immigration de plusieurs façons. Ne connaissant pas les lois et obligations, ils sont souvent victimes d'abus de tout genre. Identique côté salarial, voilà pourquoi certains employeurs ne peuvent se passer de la main-d'œuvre étrangère à l'exception de rare cas. François Vincent, un homme en cravate et, vice-président de la FCEI du Québec
( Fédération canadienne de l’entreprise indépendante ) doit lui aussi comprendre. «Le français, ça s’apprend. Mais le gouvernement du Québec n’a pas été capable de répondre à la demande pour former les immigrants.» Dit-il.
Si les P.M.E. ( Petite. Moyenne Entreprise ) n'ont pas les moyens financiers de franciser les immigrants requis, ce n'est pas au gouvernement fédéral, ni au gouvernement provincial de financer avec l'argent des contribuables. Le propriétaire du ProColor J.C. Thérien à Mirabel. ( PME de 14 employés ) « On assisterait à une rareté chez les techniciens. Par le fait même, les salaires augmenteraient et les ateliers rivaliseraient pour les meilleurs employés.» L’homme d’affaires ne comprend pas les décisions gouvernementales en raison de ce qu’il voit dans son atelier. « Ils veulent vivre ici et ils sont prêts à apprendre le français, mentionne-t-il. Ils vont faire venir leur famille ici. Lorsque sa femme va travailler, elle va aussi payer des impôts comme nous tous. Ils ont un apport à notre société.» Les démarches pour faire venir un immigrant lui ont coûté entre 12 000$ et 15 000$ par employé. ( 7 employés sur 14 ) Pour qu'un entrepreneur investisse ainsi, c'est qu'il sait que son investissement lui rapportera. « Si on en venait à perdre des employés en raison de ces règles, notre capacité de réparation diminuerait et on se tournerait seulement vers les sinistres les plus payants.» Tout est question de rentabilité, pour sa poche. C'est lui comme employé, c'est sa femme, ses frères et sœurs, cousins, cousines... Que le reste de la population québécoise couche dehors, il n'en a vraisemblablement rien à foutre. Que le reste de la société québécoise soit incapable de se faire soigner, de trouver une garderie, une école, sans importance pour lui. Et quand M. Thérien parle de payer des impôts, ce qu'ils paieront servira à peine à couvrir les frais de base comme l'assurance-maladie. Sondage Léger.
Un sondage, c'est un peu comme les statistiques. Dépendamment comment la question est formulé et à qui tu t'adresses, tu peux obtenir la réponse désirée. Poser la question à un immigré, à une personne qui ne possède pas l'expérience requise ou encore, à un propriétaire d'une P.M.E., vous aurez la réponse désirée, c'est clair. Es-ce fiable, je ne crois pas.
Alors, que 72% des Québécois estiment que l’immigration doit répondre avant tout aux besoins des PME et du marché du travail ne signifie pas grand-chose. C'est lui comme employé, c'est sa femme, ses frères et sœurs, cousins, cousines... Demandez aux Québécois s'ils sont d'accord pour payer leur francisation et payer plus cher de loyer, je demeure convaincu que l'estimation sera tout autre. Franchir une frontière d'un pays sans autorisation est considéré comme un acte criminel. Doit-on accepter les criminels au Canada ? La montée de l'extrême droite partout dans le monde ne se produit pas pour rien, à vous d'y voir.