Trop de multimillionnaires gèrent nos vies sans qu'ils aient les compétences.
Un système politique révolu
Vous admettrez qu'au fil du temps, mais surtout, au fil des gouvernements qui défilent, la situation des Québécoises et des Québécois ne s'améliore pas, au contraire.
À vrai dire, plus grand-chose ne fonctionne correctement. Crise importante du logement, Des gens vivent jusqu'à 7 adultes dans un appartement considéré comme insalubre et le tout à fort prix.
De plus en plus de gens ont recours aux banques alimentaires qui elles, ne fournissent plus. Soins médicaux quasi inaccessibles, soit la base essentielle de la vie. Jugé nuisible ou menaçant Lorsque la mairesse d'une petite municipalité décide de faire construire un centre sportif, avec grosse piscine alors que les citoyens sont en désaccord parce qu'ils ont besoin de logements mais que la mairesse s'entête, il est en mon sens " normal " que la contestation finisse par devenir hostile. Le bon sens doit impérativement l'emporter et non l'élu(e). Je pense aussi à la mairesse Catherine Fournier de la ville de Longueuil et du conseiller Jonathan Tabarah qui persistent à aller à l'encontre des Québécois et Québécoises à propos de l'abattage des cerfs. Et ce n'est pas les exemples qui manquent.
Ce sont eux, les gens nuisibles qui cause les troubles fêtes. Voter pour une personne ou un parti politique n'est pas lui accorder " carte blanche ". De plus en plus d’élus municipaux désillusionnés démissionnent Selon un article du quotidien La Presse, outre un décès, la maladie ou un déménagement, cet exode s’explique par plusieurs facteurs qui ont souvent comme point commun la déception. Ils sont venus en politique pour faire bouger les choses, mais pour diverses raisons, elles n’avancent pas aussi vite qu’ils le voudraient ou ont des bâtons dans les roues. Ils se lassent et tirent leur révérence », affirme Pierre Delorme, professeur émérite au Département d’études urbaines et touristiques de l’UQAM. Souvenez-vous de Catherine Dorion de Québec solidaire. C’est sans compter que Québec a dévolu de nombreuses responsabilités supplémentaires aux municipalités au cours des dernières années, et ce, sans les compenser adéquatement pour leur permettre de s’en acquitter. Aussi, les salaires versés aux élus sont aussi insuffisants.
J'appelle ça se foute de la gueule des gens avec son air de supériorité et mafieux accroché à son visage. Un système politique révolu
Il existe d'autres moyens de gérer un état. Des solutions que je qualifierais de beaucoup plus démocratique que celui en place qui est une démocratie qui protège vos " roi ". Un système similaire mais beaucoup plus équitable pour tous et toute. Un système où les multimillionnaires ne seraient en rien avantagés. Parce que bien sûr, ces gens sont débranchés de la réalité du peuple.
De plus en plus de gens ont recours aux banques alimentaires qui elles, ne fournissent plus. Soins médicaux quasi inaccessibles, soit la base essentielle de la vie. Jugé nuisible ou menaçant Lorsque la mairesse d'une petite municipalité décide de faire construire un centre sportif, avec grosse piscine alors que les citoyens sont en désaccord parce qu'ils ont besoin de logements mais que la mairesse s'entête, il est en mon sens " normal " que la contestation finisse par devenir hostile. Le bon sens doit impérativement l'emporter et non l'élu(e). Je pense aussi à la mairesse Catherine Fournier de la ville de Longueuil et du conseiller Jonathan Tabarah qui persistent à aller à l'encontre des Québécois et Québécoises à propos de l'abattage des cerfs. Et ce n'est pas les exemples qui manquent.
Ce sont eux, les gens nuisibles qui cause les troubles fêtes. Voter pour une personne ou un parti politique n'est pas lui accorder " carte blanche ". De plus en plus d’élus municipaux désillusionnés démissionnent Selon un article du quotidien La Presse, outre un décès, la maladie ou un déménagement, cet exode s’explique par plusieurs facteurs qui ont souvent comme point commun la déception. Ils sont venus en politique pour faire bouger les choses, mais pour diverses raisons, elles n’avancent pas aussi vite qu’ils le voudraient ou ont des bâtons dans les roues. Ils se lassent et tirent leur révérence », affirme Pierre Delorme, professeur émérite au Département d’études urbaines et touristiques de l’UQAM. Souvenez-vous de Catherine Dorion de Québec solidaire. C’est sans compter que Québec a dévolu de nombreuses responsabilités supplémentaires aux municipalités au cours des dernières années, et ce, sans les compenser adéquatement pour leur permettre de s’en acquitter. Aussi, les salaires versés aux élus sont aussi insuffisants.
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