Une nouvelle escouade du S.P.V.M.
( Service de Police Ville de Montréal )
pour lutter contre la violence armé.
( Service de Police Ville de Montréal )
pour lutter contre la violence armé.
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ENCORE UNE NOUVELLE ESCOUADE, YEAH! |
Les fusillades et les meurtres en plein jour se succèdent depuis des semaines usent les Montréalais, a reconnu la mairesse.
La cause réelle de ces événements, il ne faut surtout pas parler bien que connu par une grande majorité des Québécois et Québécoises.
Le sentiment est ce que notre cerveau perçoit, ressent face à une personne ou à une situation. Le sentiment est donc fictif.
Ici, c'est l'état d'esprit confiant et tranquille qui résulte du sentiment, bien ou mal fondé, que l'on est à l'abri de tout danger. Le sentiment de confiance comme de sécurité s'acquiert avec le temps mais se perd à une vitesse éclair. Un jour, la mairesse maintient que les policiers sont en nombre suffisant à Montréal alors que le lendemain, il faut recruter davantage de policiers. Chercher l'erreur, c'est le genre de situation qui me fait dire à haute voix que ceux et celles qui veulent nous dicter notre ligne de conduite, ne savent pas plus que nous où ils/elles vont. Le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) confirme qu’il a perdu pratiquement toute sa cohorte de septembre au profit des autres corps policiers car, presque totalité d’aspirants policiers ne semble avoir aucun intérêt à venir travailler à Montréal.
Résultats;
Les règlements de comptes ont toujours existé dans le milieu criminel, c'est vrai mais aujourd'hui, de jeunes ados, Monsieur, Madame sans histoire sont aussi visés sans parler des tirs sur des immeubles habités.
« Il faut redonner aux citoyens et citoyennes, le sentiment de sécurité », affirme la mairesse de Montréal.
Les règlements de comptes ont toujours existé dans le milieu criminel, c'est vrai mais aujourd'hui, de jeunes ados, Monsieur, Madame sans histoire sont aussi visés sans parler des tirs sur des immeubles habités.
Le sentiment est ce que notre cerveau perçoit, ressent face à une personne ou à une situation. Le sentiment est donc fictif.
Ici, c'est l'état d'esprit confiant et tranquille qui résulte du sentiment, bien ou mal fondé, que l'on est à l'abri de tout danger. Le sentiment de confiance comme de sécurité s'acquiert avec le temps mais se perd à une vitesse éclair. Un jour, la mairesse maintient que les policiers sont en nombre suffisant à Montréal alors que le lendemain, il faut recruter davantage de policiers. Chercher l'erreur, c'est le genre de situation qui me fait dire à haute voix que ceux et celles qui veulent nous dicter notre ligne de conduite, ne savent pas plus que nous où ils/elles vont. Le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) confirme qu’il a perdu pratiquement toute sa cohorte de septembre au profit des autres corps policiers car, presque totalité d’aspirants policiers ne semble avoir aucun intérêt à venir travailler à Montréal.
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